Paroles et musique: Olivier van Helden
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Depuis de longues années j’aurais dû prendre conscience
Que je suis un satané séducteur
Quand la première s’est pointée je n’ai pas compris ma chance
Et je me suis accroché à son coeur
J’aurais pu faire des trophées enchaîner les palmarès
Collectionner les poupées les maîtresses
Au lieu de me consacrer aux désirs de ma princesse
J’aurais pu soigner mes désirs de fesses
Et je suis seul, seul, seul
Comme le neurone d’une blonde
Je déprime, j’emmerde tout le monde
Et je suis seul, seul, seul
Dans ma grande baignoire ronde
V’nez faire des bulles avant que je fonde
J’ai pris ma rage à deux mains pour renverser la cadence
Et réveiller mon lutin joli-coeur
J’ai pris des cours de maintien, je me suis mis à la danse
J’ai même abusé du pouvoir des fleurs
Le résultat est certain, je ne compte plus les conquêtes
Je ne sais plus à quel sein je m’entête
Mais un jour comme un crétin, j’ai invité mes starlettes
Toutes en même temps, elle m’on fait la tête
Et je suis seul, seul, seul
Comme le neurone d’une blonde
Je déprime, j’emmerde tout le monde
Et je suis seul, seul, seul
Dans ma grande baignoire ronde
V’nez faire des bulles avant que je fonde
Finie la drague au filet, j’ai concentré ma faconde
Sur une seule hase isolée, une blonde
De jeux de mots en mots laids, elle a plongé dans mon monde
Et elle s’est abreuvée de mes rondes
Romantique et réservé, j’entonne mes chansonnettes
Mais à deux doigts de consommer, elle proteste
Elle n’a pas digéré ma chanson, c’est manifeste
Tout c’que j’en ai pu tirer c’est une veste
Et je suis seul, seul, seul
Comme le neurone d’une blonde
Je déprime, j’emmerde tout le monde
Et je suis seul, seul, seul
Dans ma grande baignoire ronde
V’nez faire des bulles avant que je fonde